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L'abbaye du Val Saint Lambert

Reconstitution du plan de l’abbaye du Val Saint-Lambert au XIIIe Siècle

par L. LEDRU


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Reconstitution de l'abbaye du Val Saint-Lambert vers 1700 - LEDRU.

Aux cristalleries du Val Saint-Lambert, situées sur l’emplacement et dans les locaux subsistants d'une ancienne abbaye cistercienne, il existe encore un bâtiment important du monastère primitif (planche III), approprié pour divers ateliers et magasins.

La destination première de cette construction médiévale nous fut révélée par un hasard heureux, qui nous mit en mains un plan de l’abbaye de Villers, reconstitué par feu l'architecte Ch. Licot.

A l'examen de ce plan, nous fûmes surpris de la curieuse analogie que présentait l'une de ses parties avec le plan du rez-de-chaussée de la vieille bâtisse du Val Saint-Lambert: même orientation, même distribution, deux salles carrées avec quatre colonnes au milieu, quatre murs parallèles entre ces deux salles, etc.

Abbaye du Val Saint Lambert
Abbaye de Villers la Ville

Cette constatation, que les initiés aux nombreux plans d'abbayes bernardines eussent sans doute trouvée un peu naïve, nous suggéra l'idée de tenter quelques fouilles en prenant le plan de Villers comme guide. Peut-être retrouverions-nous alors l'emplacement de l’église primitive, ainsi que des autres bâtiments conventuels!

Nous commençâmes, au préalable, par mesurer la longueur de cette partie similaire aux deux abbayes; entre l'extérieur des murs de la salle capitulaire et de la salle des moines (planche II, IM) nous trouvâmes. 41 m 50 pour Villers, et 40 m 60 au Val Saint-Lambert. Et en prenant comme base le bâtiment en question, nous reportâmes le calque du plan de Villers (légèrement réduit) sur celui de l'usine. Ces deux plans superposés nous indiquèrent ainsi les endroits encore accessibles, où des recherches seraient pratiquement possibles.

Par cette juxtaposition, et à notre grand étonnement, nous constatâmes qu'une autre partie du plan de Villers venait s'appliquer exactement sur celui d'anciens murs relevés dans une cave de maison ouvrière (planche II, D1).

Ainsi donc, avec le plan du bâtiment du Chapitre et celui des murs, que nous précisons comme étant ceux de la cuisine de l'abbaye, nous possédions déjà deux points d'identité certaine, qui allaient singulièrement faciliter notre tentative archéologique.

Une autre des conséquences de cette trouvaille fut que nous pouvions déjà identifier des traces de fondations anciennes, signalées antérieurement au cours de travaux dans cette partie de l'usine, et dont l'orientation nous paraissait alors incompréhensible.

Conduit par le précieux plan, dès les premiers coups de pioche, le plus souvent à une faible profondeur, et presque toujours à la place indiquée, nous mettions au jour des fondations de bâtiments anéantis pour la plupart au XVIIIe siècle, lors de la construction du nouveau couvent sur un autre emplacement (1).


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Reconstitution du plan de l'abbaye du Val Saint-Lambert au XIIIe siècle - LEDRU.

Ces points retrouvés furent alors signalés en noir plein sur le nouveau plan (planche II) au fur et à mesure de leur découverte, et ainsi, notre plan hypothétique du début, après de légères retouches, devint graduellement un plan définitif.

C'est cette reconstitution que nous présentons en attribuant les mêmes destinations que celles indiquées au plan de Villers, lesquelles, du reste, étaient les mêmes qu'aux couvents du même ordre religieux, édifiés à cette époque.

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Nous allons maintenant passer en revue les différents points des fondations de constructions médiévales mis au jour jusqu'à présent, en mentionnant les très rares découvertes accessoires: le terrain, dans ces parages, ayant été bouleversé, non seulement au cours des travaux pour l'établissement de la cristallerie, mais encore pour les diverses petites industries qui avaient précédé l'arrivée des verriers. Heureusement, que les fondations du moyen âge étaient facilement reconnaissables par leur structure spéciale au mortier peu consistant, sans quoi, nous aurions pu être dérouté par les traces étrangères à notre reconstitution.

A. Eglise abbatiale ou N. D. du Val Saint-Lambert (commencée en 1202, terminée vers 1235), dont les dimensions principales nous ont été données, d'abord par la découverte du point A1, qui nous a permis d'établir la longueur du transept, c'est-à-dire 39 mètres (contre 45 m. 50 à Villers), et ensuite par le point A2, qui nous a aidé à fixer la longueur totale de l'église primitive: 80 m. (contre 92 m. à Villers); nous disons l'église primitive, car après deux incendies, l'un en 1469. l'autre en 1557, l'église fut amputée de plus de la moitié de sa nef, et n'eut plus alors que 50 m sur 22 m de large, pris au nouveau pignon A3, en y comprenant le contrefort. Ces mesures que nous avons vérifiées en y comprenant le pied de 30 c. sont données assez exactement par Saumery dans les Délices du Pays de Liège (1738) où nous trouvons ce passage, intéressant à citer:

« L'Eglise est un beau vaisseau fait en croix dont l'architecture quoique gothique, ne laisse pas de plaire; sa longueur est d'environ 115 piés sur 75 de largeur, les voûtes de la nef et les deux ailes sont très proportionnées dans leur élévation et dans leur largeur. Le choeur et le sanctuaire sont pavés de marbre (2), chacune des sous-ailes est ornée de six chapelles très propres... »

De ces chapelles, nous avons découvert le massif informe des fondations d'un mur de séparation au point A4.

Au point A5, emplacement d'une autre chapelle, nous avons trouvé une trentaine de petits carreaux en forme de losange, émaillés de couleurs différentes (blanc, bleu, brun).

Pendant les travaux pour l'élargissement d'un four de verrerie, nous avons retrouvé en A6, la base de la muraille de la nef incendiée, et de chaque côté du four, des murs de construction postérieure (le point A3 a été mis au jour dans les mêmes circonstances).

Une moitié de tambour de colonne d’un diamètre de 0 m 70 a été exhumée au milieu de débris de fondation au point A7.

Du mur Sud de la nef, nous n'avons que les renseignements sans grande précision, donnés par des anciens maçons de l’usine; mais les autres traces relevées sont suffisamment probantes, pour en fixer l'emplacement.

A la cote A8. dont nous publions ci-contre la photographie, nous avons mis au jour une partie des fondations du mur de l'abside de forme semi-circulaire (comme à l'abbaye de Villers). On remarquera que pour découvrir ces fondations, il n'a pas fallu creuser bien profondément.

Des abbés et personnages de marque enterrés dans l'église, nous n'avons relevé que quelques ossements épars. Le fait le plus intéressant fut la découverte sous une voie ferrée (A9) d'un squelette dont les os étaient relativement en place et dont l'ensemble était orienté (les pieds vers l'autel). Le corps avait été posé à même la terre, et entouré de pierres de sable. La mensuration des os révélait un homme de grande taille (1 m 90 environ). Cette situation, au pied du banc de communion, dénoterait un personnage d'importance.

Peut-être étions-nous en présence des restes de l'évêque de Liège Jean d'Eppes, qui fut, suivant sa volonté, inhumé à l'abbaye en 1238 (?). Comme preuve d'identité, nous ne retrouvâmes qu'une boucle ronde (de ceinture ?) en cuivre, avec son ardillon.

Nous devons noter également, la découverte de cheveux de femme, ainsi que des ossements, vers le milieu de la nef (3).

Fondations des murs de l’abside de l'église abbatiale du Val Saint-Lambert.

Serait-ce les restes d'une recluse dont la pierre tombale (que nous avons relevée) avait été employée comme dallage dans une cave du nouveau monastère ?

B. et C. Les bâtiments primitifs des celliers et du réfectoire des gens de service furent souvent remaniés ou transformés à des époques différentes; ce qui nous est révélé par l'examen de vues diverses de l'abbaye (4). Cependant les points B1, C1, 2, 3, sont suffisamment suggestifs pour considérer comme possible le tracé hypothétique.

D. De la cuisine, dont il est question plus haut, ce ne sont plus des débris informes, mais des murailles bien conservées que nous possédons.

De la cheminée d'aérage, nous n'avons retrouvé aucune trace. Du reste, les pierres encore utilisables dans ces parages ont été réemployées dans la construction de cette longue suite d'habitations ouvrières, où nous avons enlevé quelques débris de dalles funéraires du moyen âge, ainsi que diverses pierres provenant du cloître démoli.

E. Nous passons maintenant au réfectoire primitif, dont nous avons trouvé un angle (E1) à une profondeur de 2 m 50.

De ce côté, jusqu'à la maison de l'abbé (Q), et entre celle-ci et la face extérieure du Chapitre, le terrain a été fortement remblayé (2 à 3 m.) lors de la démolition de l'église et du cloître.

Mais, revenons au réfectoire primitif. Nous n'avons pu jusqu'à présent constater s'il avait les colonnes médianes comme à Villers. Ce qui est certain, c'est que dès la première moitié du XVIIe siècle (probablement lors de la construction de la maison des étrangers), il était déjà démoli et rétabli parallèlement au cloître. Saumery en donne les dimensions: 26 m 60 sur 9 m. de large. C'est exact, en supprimant le mur séparant le réfectoire du chauffoir (devenu probablement inutile).

F. Le cloître du Val Saint-Lambert avait la même superficie que celui de l'abbaye de Villers, et correspondrait aux mesures indiquées dans l'ouvrage des Délices du pays de Liège qui dit « que le cloître vitré et voûté à la gothique, forme un carré de 160 piés de diamètre... », si nous prenions cette dimension en diagonale dans le préau!

Du mur intérieur du cloître primitif, nous ne possédons plus rien, même en fondation: les légers contreforts dont nous avons retrouvé la base (F 1, 2, 3) ainsi que les pieds des colonnettes adossées à l'extérieur de la salle capitulaire (planche III), indiquent qu'il a dû être refait entièrement vers le XVe siècle. Le niveau du cloître était à 0 m 60 du sol actuel.

En pratiquant les fouilles dans le cloître près du réfectoire, au point indiqué par deux croix, nous avons découvert deux squelettes, sans trace de cercueil ou de sarcophage.

Dans l'angle du préau à 2 m. de profondeur, nous avons mis au jour un petit canal avec une dérivation, et parmi les terres remuées: des débris de poteries communes, des fragments de cruches de Raeren, des morceaux de poêles de Nuremberg en terre cuite vernissée brun et vert, des ardoises épaisses, des débris de vitraux avec leur plomb, etc., etc.

Côté du cloitre près de la salle capitullaire à l'ancienne abbaye du Val Saint Lambert

G. La sacristie dont nous avons retrouvé un mur (G1) à 2 m 50 au-delà de la salle capitulaire (5).

La porte de communication avec le transept a été bouchée.

Nous avons mis au jour le mur de séparation entre la sacristie et la petite bibliothèque.

Une série de carreaux vernissés du XIIIe siècle (fleurs de lys, damier, rosace, etc.) réemployés sans ordre, ont été relevés contre le mur près du chapitre.

H. Petite bibliothèque où se voit encore l'emplacement de l’armarium.

A gauche dans la planche III, on voit la voûte du tunnel où passe maintenant la voie ferrée qui traverse la sacristie et la petite bibliothèque.

I. Nous sommes arrivés au point le plus important: une partie de l’abbaye du moyen-âge, la salle du Chapitre avec ses beaux chapiteaux du gothique primitif le plus pur.

Le sol actuel (jusqu'à la salle des moines) est surélevé de 1 m 05 sur le niveau primitif que nous avons retrouvé en dégageant une des colonnes, dont la base quadrangulaire porte les griffes caractéristiques de l'époque.

Nous devons avouer que là, nous fûmes désillusionnés; nous espérions découvrir des dalles funéraires d'abbés inhumés dans cette salle; mais, rien, pas la moindre pierre: quelques menus ossements, au milieu des terres bouleversées!

Près du portique d'entrée (qui devait avoir deux marches), nous avons constaté le long du mur, la présence d'une bordure d'un dessin régulier, en carreaux noirs et jaunes. Nous les avons laissés en place, comme témoins.

J. K. L. Les murs du parloir, de l’escalier et du couloir ont été éventrés pour le service des ateliers installés dans ces locaux,

M. Dans la salle des moines, se voit encore l'emplacement d'une grande cheminée au manteau arraché (M1).

N. Sur le mur, à l'extérieur de cette salle, on distingue des traces d'une voûte qui nous semblait être une communication avec une dépendance; nous avons fouillé le sol fortement remblayé (comme il est dit plus haut) et nous avons découvert (N1) à 3 mètres de profondeur, l'amorce d'un mur d'une construction dont nous ne saurions déterminer la destination.

O. De la cour des novices, nous avons mis au jour une trace O1, sur le prolongement du mur nord de la salle capitulaire; et bien plus tard, au cours de travaux pour les fondations d'une nouvelle taillerie, nous avons trouvé les points 2 et 3.

P. Ancienne infirmerie (?); nos investigations n'ont pas été jusque là.

Q. Quartier de l’abbé. Pour les recherches de sa situation, nous avons été aidés par la vue de l'abbaye des Délices du pays de Liège, où l'on voit la façade d'un pignon à redents, sur le prolongement du mur sud de la salle des moines, et à sa droite. Nous eûmes la bonne fortune, en faisant une tranchée assez profonde de trouver un mur avec parement, et dans la seule partie encore accessible. « La maison abbatiale, très bien bâtie, contient plusieurs belles salles fort proprement meublées... », ainsi s'exprime Saumery.

Cette construction eut le sort de ses aînées (église et cloître gothique) et fut démolie vraisemblablement après l’édification du nouveau monastère, vers 1760. A son emplacement, un grand jardin fut aménagé; depuis, des ateliers nouveaux ont envahi toute cette partie de l'ancien couvent.

R. Mur de soutènement, établi pour maintenir les terres dans le voisinage de l'entrée de l'église. Le bief du moulin voisin était au pied de ce mur, qui sert maintenant de base à un côté du bâtiment de la première taillerie des cristalleries.

S. Moulin hydraulique ou scierie, que l'on voit dans la gravure des Délices du pays de Liège. Nous en avons retrouvé une partie de mur.

T. Grand étang de 150 m. de long sur 80 de large. Il a été d'abord aux deux tiers absorbé par la première halle de verrerie; depuis d'autres dépendances et ateliers sont venus s'y ajouter et finiront fatalement par le réduire à l'état de souvenir.

Des « cent ruisseaux tortilleux », dont il est question dans l'ouvrage de Saumery, nous ne connaissons que le ruisseau du fond du bois de l'abbaye, qui se divisait en deux branches avant de pénétrer dans le monastère; la branche supérieure passant près de l'entrée de l'abbaye, c'est-à-dire la porte de Villencourt (6), allait alimenter la cuisine, passait près la salle des moines, contournait l'abside, se divisait de nouveau pour aller, d'un côté actionner la scierie hydraulique, de l'autre un moulin à farine. Entre la cuisine et le réfectoire, nous avons retrouvé ce ruisseau comblé; c'était un canal voûté de 1 m 20 de largeur.

Notons encore, un petit canal que nous axons découvert en recherchant le mur du cloître près du réfectoire. Nous supposons qu'il devait amener, l'eau au lavabo (?) dont nous ne pouvons, et pour cause, découvrir aucune trace.

En dehors du plan, nous citerons une construction démolie en 1887, la brasserie des moines, aux fenêtres en plein cintre, et qui datait vraisemblablement du XIIIe siècle; elle n'avait rien de remarquable, d'après ce que nous en savons par la vue d'un dessin exécuté l'année de sa disparition. Nous en avons fixé l'emplacement en remettant ses fondations au jour. Elle était située à 200 mètres environ au sud du réfectoire.

Pour finir, en ce qui concerne le XIIIe siècle, nous dirons que le grand mur d'enceinte de l'abbaye primitive avait 1500 mètres de développement, et qu'il en subsiste encore quelques parties.

Après avoir présenté ce que nous connaissons du plan des bâtiments conventuels au moyen âge, nous allons dénommer les constructions plus récentes de l'abbaye qui figurent sur notre reconstitution.

U. Sacristie du XVIIe siècle, dont la partie nord a été rasée obliquement au XVIIIe siècle pour la mettre à l’alignement de l'infirmerie nouvelle; elle fut démolie définitivement en 1885.

V. L’infirmerie du nouveau couvent fut construite en 1773, et avait alors les dimensions de V1 à 2. Ce bâtiment fut transformé en 1885.

X. Pavillon de l'angle sud du nouveau monastère; logement du prieur.

Y. Quartier du boursier (1767), sur l'emplacement d'une partie du transept sud de l'église primitive. Cette ajoute à la construction médiévale, fait pendant au pavillon du prieur et, avec l'infirmerie, forme un côté de la grande cour d’honneur projetée.

Z. Quartier des étrangers (1627): actuellement salle d'Harmonie et école ménagère.

En terminant cette notice, nous devons signaler comme nous ayant également été d'un grand secours dans l'étude de cette reconstitution, la grande maquette en plâtre de l'abbaye de Villers, qui se trouve aux Musées royaux du Cinquantenaire à Bruxelles; toutes les traces, ajoutes, suppressions, nous étaient clairement renseignées par son examen et sa comparaison avec ce que nous possédions de l'abbaye primitive du Val Saint-Lambert.


(1) Voici entre autres documents probants, le cahier des charges pour l’entrepreneur de démolition :

« Le 7 nov. 1750, Paquay Hubert, maitre maçon, s'engage moyennant la somme de 550 fl. 66. et de la bière pour ses ouvriers (commue il est d'usage d'en donner) d'enlever toute la charpente et le bois de l’église, de renverser toutes les murailles, jusqu'aux fondements, sauf celles des dortoirs et de la grande sacristie.

S'il arrivait qu’il abimât une des murailles, obligation pour lui de la réparer.

Conditionné que tous les bois lui sont acquis, sauf le fer et le plomb qui resteront la propriété du Val ».

(Extrait des Archives de l’abbaye du Val Saint-Lambert aux Archives de l'Etat à Liège).

(2) C'était du marbre de Saint-Remy dont nous avons retrouvé des plaques réemployées dans une partie du nouveau couvent.

(3) Cette communication nous fut faite par un ancien ouvrier de l’usine qui avait travaillé à cet endroit il y a une quarantaine d'années.

(4)

1° Une vue cavalière de l'abbaye dans un plan cadastral (sur parchemin) sans date, mais postérieure à 1640 (registre 215 des archives de l'abbaye du Val Saint-Lambert aux Archives de l'État à Liège).

2° Une aquarelle assez naïve qui, selon toute vraisemblance, serait du commencement du XVIIIe siècle (registre 19 des mêmes archives).

3° La gravure plus connue de Remacle Le Loup, dans Les Délices du Pays de Liège (1738) aux Archives de l'Etat à Liège.

(5) Le même cas se présente à l’abbaye du Val Dieu du même ordre.

Cette remarque nous a été faite par M. A. Schellekens de Gand, qui a étudié spécialement cette abbaye.

(6) Voir Bulletin de l’Institut archéologique liégeois, tome XLI. (1911), pp. 249 et ss.

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