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Notre Dame aux Fonts à Liège

Fonts baptismaux de l'église primaire de St Barthélemy à Liège

Boeufs et couvercle

par Gustave Gilhain, 1914


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Ces célèbres fonts baptismaux, oeuvre de Renier de Huy (1), ont été l'objet de nombreux écrits et de maintes polémiques.

L'importance de la cuve de bronze, fondue d'une seule pièce, la beauté artistique de l'oeuvre, le fini du travail, l'impression profonde de vérité qui s'en dégage, l'époque lointaine de sa mise en oeuvre, en font une rareté unique au monde.

Son origine, son transfert, le nom de son auteur, la description des épisodes de la cuve, l'interprétation des inscriptions métriques et autres qui s'y trouvent, là nature et la forme de l'assise du monument, le nombre et la position des boeufs qui le soutiennent, le couvercle qui couronnait l'oeuvre et qui est perdu à jamais, ont fait couler des flots d'encre!

Il m'a paru intéressant d'examiner plus spécialement ces deux derniers points, afin d'établir le nombre et la place originale des boeufs et la forme du couvercle.

M. Henry Rousseau (2), conservateur aux musées royaux du Cinquantenaire à Bruxelles est dans la vérité quand il affirme que les tenons qui sont fixés sur le dos des bœufs devaient se placer sous la Cuve.

La logique tout d’abord nous indique que ces tenons avaient été coulés dans ce but, car ils n'ont pas d'autre raison d'être. La forme arrondie des tenons, qui épousent exactement la rainure inférieure laissée sous la cuve - ce que j'ai pu vérifier lorsque les boeufs étaient détachés et la cuve renversée – le confirme. J'ai constaté de plus, qu'un des tenons repris sous le n° 8 du dessin ci-joint, était scié partiellement du côté de la cuve pour permettre à celle-ci de pouvoir se poser sur le dos des boeufs, en deçà des tenons, ce que personne n’avait encore observé ni signalé jusqu'à présent. Ceci prouve à l'évidence que l'ouvrier qui avait scellé les boeufs dans la pierre, n'en avait pas assez écarté un d’entre eux et qu'il a été obligé d'enlever une partie du tenon de celui-ci pour pouvoir placer la cuve entre les boeufs. Du même coup, il est prouvé que la position primitive des boeufs n'était pas celle que nous voyons aujourd'hui, car l'examen de la partie sciée nous montre en cet endroit le cuivre non patiné comme le reste, ce qui n'aurait évidemment pas eu lieu si le sciage remontait aux origines de l'oeuvre.

Un conclusion logique s'impose dès lors: c'est que primitivement, quand l'artiste a créé son oeuvre, les tenons ont été placés sous la cuve, dans la rainure faite spécialement à cet effet.

Plus tard, lors du transfert du monument de l'église de Notre-Dame-aux-fonts en l'église Saint-Barthélémy, après la révolution, on a replacé les boeufs avec les tenons à l'extérieur de la cuve par inadvertance probablement et on a scié celui qui gênait.

Depuis cette époque on a bien transporté les fonts çà et là, pour des expositions d'art ancien: mais comme les boeufs étaient scellés dans le soubassement en pierre et formaient bloc avec lui, ils n'ont plus changé de position.

C'est donc avec raison que le Conseil de Fabrique de l'église primaire de Saint-Barthélémy avait demandé à la commission royale des Monuments l'autorisation de reconstituer ce Joyau, en plaçant les tenons sous la cuve, d'après les principes émis par Henry Rousseau ; mais la Commission s'est formellement refusée à le lui permettre.

Le Conseil a donc été contraint de s'incliner, tout en laissant, bien entendu, à la commission royale la responsabilité de son refus.

C'est pourquoi la reconstitution du monument, qui vient d'être faite, tout en étant aussi soignée et aussi parfaite que possible, n'en est pas moins erronée et nullement conforme à la vérité, en ce qui concerne la position des boeufs.

*

* *

C'est encore la thèse de Henry ROUSSEAU (3), quant au nombre de boeufs, qui est exacte.

Il y avait évidement au début douze boeufs et non pas dix comme à présent.

En voici les preuves:

1° La chronique liégeoise de 1402 publiée par Eug. Bacba (4) nous dit: « Stantes super XII boves diversimode se habentes ». « La cuve est soutenue par douze boeufs d'attitudes diverses. »

2° Sur le bord inférieur de la cuve, se trouve l'inscription suivante: « Bissenis bobus pastorum forma notatur ques et apostolice commedat gratia vite officiiq(ue) gradus quo fluminis impctus huius lectificat sanctam, purgatis civibus urbem »: dont la traduction de M. l'abbé BALAU, chanoine à notre Cathédrale (5), me semble être la plus exacte: « Ces douze boeufs représentent les douze apôtres, que recommande à la vénération des fidèles la grâce de l'apostolat qui leur fut conféré, avec la haute mission d'administrer le baptême, d'où émanent les flots abondants de grâce représentés par ce fleuve, grâce qui réjouit la Villc sanctifiée par la purification de ses citovens ».

3° De plus, il ne paraît pas douteux que Renier de Huy n'ait eu connaissance du 3eme livre des Rois, qui aux V. 23-25 dit (6):

« Il fit aussi un grand bassin de fonte surnommé la mer, de dix coudées d'un bord jusqu'à l'autre ; elle était ronde et avait cinq coudées de haut et un cordon de trente coudées l'entourait. Et cette mer était basée sur douze boeufs, trois regardant le Septentrion, trois l'Occident: trois le Midi et trois l'Orient; et la mer était sur ces boeufs dont l'extrélnité du corps était cachée ».

Notre joyau est une image de cette mer d'airain conservée au temple de Jérusalem.

4°) Enfin un argument non moins décisif est celui-ci:

Notre estimé président, Théodore GOBERT (7), a retrouvé une facture du chaudronnier J.-J. Collin du début de 1804, oÙ il dit ayoir réparé sept animaux en bronze et fourni quatre livres de cuivre à cet effet pour fr. 13,50.

En examinant ces boeufs avec attention, je trouve sous les numéros 4, 5, 6, 7 et 10 du croquis ci-joint, cinq boeufs réparés; quant aux autres boeufs n° 1, 2, 3, 8, 9, ils n'ont pas trace de réparation; il ne peut donc être question d'eux.

En conséquence, il y a deux boeufs réparés qui manquent au monument, probablement parce que la restauration n'en était pas suffisamment réussie et qu'ils n'étaient pas présentables, ou encore parce que le tailleur de pierres s'étant trompé dans le nombre ou la division des entailles dans le soubassement, n'a pas jugé utile de mdifier son travail.

Toujours est-il qu'il a supprimé deux boeufs réparés et qu'il est prouvé du même coup qu'il y en avait bien douze au début.

*

* *

La Commission royale des Monuments a écrit dans sa lettre N° 7188 du 6 mai 1909:

« L'examen minutieulx du monument a permis de constater que les plaques sous les pieds des boeufs paraissent bien avoir été coulées en même temps que les animaux. On remarquue même des encadrements à ces plaques, ce qui prouve qu'elles ne reposaient pas, comme certains l'avaient pensé, sur une merou un fleuve d'airain baignant les pieds des boeufs.

» Du reste, il n'est pas question de cela dans le texte que porte la cuve. La délégation entière composée de sept membres de la Commission royale et de cinq membres du Comité provincial des Correspondants, a été unanimement d'accord sur ce point ».

Je me rallie complètement à la première partie de cette lettre.

Les plaques d'assise ont bien été coulées avec les boeufs. Elles paraissent de même métal, de même vétusté et les pieds des boeufs n'y ont pas été soudés oun attachés par après.

Une rainure des trois côtés extérieurs forme une espèce d'encadrement à ces plaques, ce qui leur donne le fini requis pour compléter l'oeuvre.

Toutes les plaques complètes, au nombre de cinq, sont ainsi (n° 1, 2, 3, 8 et 9).

Les autres, par contre, ont été ajoutées après coup et il ne me paraît pas douteux que ce soit, en 1804 par le chaudronnier J. -J. Collin, dont la facture retrouvée par Théodore Gobert indique que sept animaux en bronze servant aux fonts de St Barthélemy ont été réparés et que quatre livres de cuivre ont été fournies à cet effet.

Quant aux n° 4, 5 et 10, ils ont conservé sur les plaques ajoutées par J.-J. Collin, des morceaux du laiton primitif adhérant encore aux sabots des boeufs.

Les n° 6 et 7 n'en ont pas gardé, car les pieds des bœufs avaient disparu entièrement et aucune parcelle de ces assises ne pouvait plus adhérer aux animaux.

Il ne me paraît néanmoins pas probant que, parce que des taques d'assise existaient sous certains boeufs, il ne pouvait pas y avoir de fleuve en-dessous d'elles.

Evidemment, les pieds de certains boeufs ne pouvaient toucher la mer, ni s'y plonger, mais cela n'était pas impossible aux autres. Si ancun texte n'indique que ce fleuve a existé, aucun non pIus ne spécifie le contraire.

Le monument serait, à mon avis, bien plus complet et plus achevé s'il en était ainsi.

La question demeure donc pendante...

Bien plus, en examinant la chose avec minutie, on constate que les pieds d'un certain nombre de boeufs sont plus longs que ceux de certains antres, alors que les tenons arrivent tous au même niveau supérieur.

Il me semble donc que la vérité est celle-ci:

Trois boeufs, les n° 1, 2 et 3, formant le groupe du Sud, reposaient sur une assise représentant une bande de terre et émergeaient du fleuve. Les pieds des trois boeufs suivants, groupe de l'Est, plongeaient partiellement dans le fleuve (4, 5 et 6).

Les trois suivants 7, 8 et 9, groupe du nord, émergeaient encore et les trois derniers à l'Ouest avaient les pieds en partie dans l’eau (ce seraient deux des boeufs qui manquent).

Cela expliquerait pourquoi la moitié des boeufs est intacte et l'autre pas, les pieds de ces derniers ayant dû être anachés de la banderole circulaire de cuivre simulant le fleuve ondoyant.

Le projet du monument reconstitué par Henry Rousseau au Palais du Cinquantenaire à Bruxelles, devrait donc être simplement modifié en ce sens que les assises de deux groupes de boeufs du Sud et du Nord devraient émerger du fleuve.

Il y aurait de la sorte concordance plus étroite entre ce monument et la description de celui du Temple de Salomon, que j'ai citée plus haut, au point de vue du groupement des animaux, et il en serait la fidèle image.

*

* *

Sur l'invitation de M. l'abbé Coenegracht, ancien vicaire à Saint-Barthélémy (8) et qui se trouvait, à cette époque, en fréquentes relations avec lui, le célèbre et savant archéologue, chanoine Bock, d'Aix-Ia-Chapelle, étudia un projet de restauration du couvercle perdu (9).

Cette étude restée manuscrite et dont on m'a donné communication, peut se résumer comme suit:

1° Quelle forme, quel contour général devait probablement présenter le couvercle d'autrefois?

Aucune description n'en est restée; nous n'avons que les mots de Gilles d'Orval:

Hoc quod fontes desuper operit

postolos et Prophetas exerit

Nous devons donc procéder par comparaison avec les travaux contemporains des fonts baptismaux.

Nous avons d'abord les couvercles des nombreuses pyxides de l'époque, dont on trouve encore tant d'exemplaires dans les musées, les trésors des églises et les collections privées. Les custodes dites de Limoges, fabriquées par les ouvriers spécialistes en émail champlevé, nous donnent toujours la même forme conique pour le couvercle.

Le même type se remarque encore sur les boîtes aux Saintes-Huiles, les petits reliquaires et quelques grandes châsses.

Nous avons enfin la magnifiqne cuve baptismale du clôme de Hildesheim, qui peut être mise en parallèle avec celle qui nous occupe, quoique plus petite et plus jeune d'une cinquantaine d'années: elle aussi est couronnée d'un couvercle de la forme conique.

Cette forme générale ne peut donc être l'objet d'aucun doute.

2° Quels devaient être les ornements de ce couvercle '?

Il étaient de trois sortes: les moulures, les sujets et le bouton terminal.

Les moulures ne peuvent prêter à discussion; il suffirait de prendre modèle sur la cuve même et de reproduire celles qu'on y trouve avec les mêmes profils.

Il faudrait naturellement aussi graver, sur le plat bord, des vers léonins en rapport avec les sujets représentés; encore une fois suivant le type de ce qui est conservé.

Les sujets à représenter sur le pourtour du couvercle sont indiqués, mais non décrits, par Gilles d'Orval: ce sont les apôtres et les prophètes.

Nons avons donc dans le couvercle le parallélisme entre la loi ancienne et la loi nouvelle, comme il existe sur la cuve. Ici, les douze boeufs de la mer d'airain du temple de Salomon supportent la cuve chrétienne, la loi ancienne sert de base à la loi nouvelle; là, les douze apôtres sont figurés avec douze prophètes: les uns ont vu la vérité et l'ont prêchée, les autres l'ont prévue et ils l'ont annoncée. Le même nombre se reproduit partout.

De même que dans la partie conservée, les personnages du couvercle doivent être représentés en pied, leurs groupes doivent être séparés par des plantes idéalisées ou stylisées, ils doivent être posés sur un sol ondulé; les costumes, la disposition des groupes, l'expression des physionomies, les attitudes, le jet des draperies: tout cela doit cadrer avec les scènes du bas, tout doit être imité d'après le chef d'oeuvre existant.

Mais n'y avait-il pas un autre sujet sur le couvercle?

Il reste, en effet, entre la tête des personnages et la naissance du bouton terminal une petite zone conique. Peut-elle rester vide? Dans les scènes du bas, trois sont dominées par la tête de Dieu le Père et par des mains; dans les deux autres, les arbres un peu plus hauts et les grandes inscriptions remplissent le tout.

Serait-ce une proposition hasardée que de vouloir orner cette zone par un symbole qui se rencontre fréquemment, quoique placé de manière différente, sur les fonts baptismaux des XIe et XIIe siècles, et qui représente les quatre fleuves du paradis: le Phison, le Géon, l'Euphrate et le Tigre? Aux fonts de Hildesheim, ils sont placés comme soutiens de la cuve. On les reproduirait comme des personnages masculins accroupis, tenant à la main l'urne déversant l'eau du fleuve; tout cela exécuté d'après les modèles du siècle.

Si cette proposition était accuueillie, on trouverait du même coup le sujet d’un bouton terminal, un sujet parfaitement à sa place pour couronner l'oeuvre entière: l'agneau sur la montagne de l'Apocalypse, duquel coulent les quatre fleuves de la vie et qui représente le Sauveur.

Si on n'admet pas cet agneau, on peut néanmoins conserver les quatre fleuves et terminer le couvercle par une boule ornementale comme dans d'autres oeuvres de l'époque.

Cependant je crois que l'agneau conviendrait fort bien, car les eaux des fleuves de la vie correspondraient il celIes des urnes figurées plus bas. Le symbole du Sauveur et de la grâce ne peut être mieux plaeé que sur Ies fonts de baptême.

Dans les vers léoniens à composer pour la moulure au bas du couvercle, on expliquerait la présence des apôtres et des prophètes et en même temps le symbolisme du couronnement.

3°) Comment devra-t-on procéder pour l'exécution technique?

Ceci ne doit pas nous inquiéter: nous avons à Liége même des ateliers parfaitement montés, avec un outillage perfectionné et des ouvriers formés. L'épaisseur de la fonte devrait être proportionnée à celle de la cuve, et la composition du métal est probablement la même que le similor ancien, c'est-à-dire 90 parties de cuivre rouge et 10 parties d'étain anglais. Au besoin, on pourrait faire une analyse et du même coup savoir ce qu'il y a de vrai dans la légende, qui prétend, que les boeufs ne sont pas de fabrication nationale, mais qu'ils ont été apportés de Milan par l'évêque Otbert; l'analyse nous révélerait, en effet, si la composition du métal des boeufs est ou non identique à celui de la cuve.

4° Comment fera-t-on le plan et l'exécution artistique?

Dans le plan, on doit prendre pour modèle les chefs d'œuvre de la même époque; les personnages, les plantes, les banderoles, tout doit être exactement traité. Sous ce rapport nous avons, outre les fonts baptismaux de Hildesheim, le dessin du magnifique rétable de Stavelot, qui, à lui seul, suffirait pour inspirer le plan et les détails, avec ses groupes, ses arbres et ses accessoires. La photographie et ses dérivés nous donnent actuellement toute facilité pour la reproduction exacte de l'ensemble et des détails; on pourrait donc réunir une collection de dessins et la mettre à la disposition des artistes. On pourrait même, sans grands frais, se procurer un fac-simile des fonts de Hildeshem. Peut-être que l'un ou l'autre musée supporterait volontiers les dépenses de ce travail, d'abord pour rendre service aux artistes et ensuite pour s'enrichir d'une pièce aussi importante.

Pour diriger le tout on pourrait former un comité et pour dresser le plan on pourrait mettre le projet au concours.

Ce même comité, après un examen approfondi, adopterait le plan définitif et ferait exécuter en plâtre le fac-simile du projet adopté. Celui-ci serait alors exposé pour provoquer la critique de tous les hommes compétents. Ce modèle serait également soumis à l'approbation de Monseigneur l'Evêque et de la Commission royale des Monuments, pour obtenir les autorisations et les subsides nécessaires.

Pour l'exécution définitive, il faudrait non seulement bien soigner le modelage et la bonne exécution du moule, mais aussi la fonte et surtout la ciselure; c'est celle-ci qui doit donner au travail son caractère vraiment archaïque.

5°) Il convient d'ajouter encore quelques mots sur le bras ou levier destiné à soutenir et à mouvoir le couvercle.

Cette pièce serait forgée en fer et ancrée dans le mur de manière à pouvoir tourner facilement.

Elle prendrait la forme naturelle d'un triangle rectangle, avec l'hypoténuse tournée vers le couvercle. Pour les ornements de cette pièce, on pourrait s'inspirer des modèles du XIIe siècle: grilles, pentures et fausses pentures.

Enfin pour compléter le tout, il faudrait encore un système de fermeture exigé par les prescriptions de l'Eglise: le moyen âge offre assez de modèles de poignées, marteaux, serrures, verrous, qui pourraient être copiés et adaptés au travail de ferronerie.

Le chanoine Bock termine son manuscrit en formant le vœu qu'il se trouve bientôt un homme prenant l'initiative de cette entreprise, avec la ténacité et la persévérance nécessaires pour la mener à bonne fin.

Je ne prétends nullement que les idées exprimées par le célèbre archéologue trouvent encore aujourd'hui une adhésion unanime, mais elles m'ont paru si intéressantes que je n'ai pas hésité à les reproduire ci-dessus, tout en émettant l'espoir de les voir prendre en sérieuse considération.


(1) Joseph DESTRÉE, Renier de Huy, auteur des fonts baptismaux de St-Barthélemy à Liége et de l'encensoir du Musée de Lille. Bruxelles 1904, p. 15 à 22.

(2) Henry ROUSSEAU, Les fonts baptismaux de l'Eglise St-Barthélemy à Liége dans Annales du XXIe Congrès de la Fédération archéologique et historique de Belgique. Liége 1909, p. 92 à 94.

(3) H. ROUSSEAU, op, cit., p. 93 à 98..

(4) La Chronique liégeoise de 1402. Bruxelles I1900. p. 131.

(5) S. BALAU,Essai de traduction de l'inscription inférieure de lu cuve baptismale de St-Barlhélemy. dans Annales du XXle Congrès de la Fédération archéologique et historique de Belgique. Liége 1909, p. 79.

(6) Jules HELBIG. Histoire de la sculpture et des arts plastiques au pays de Liége. Liége 1889, p. 51.

(7) Joseph DEMARTEAU, Deuxième note sur les fonts s baptismaux de St Barthélemy. Liége. Liége 1907, p. 17.

(8) Actuellement aumônier à Reckheim.

(9) Voir aussi les études intéressantes publiées à ce sujet dans le Bulletin des Métiers d'Art:

A. VAN GRAMBEREN, Les fonts baptismaux, 9eme année, 1909-10, pp. 27G à 280.

E. G., Les fonts baptismaux de St-Barthélémy. à Liége, idem.

A. VAN GRAMBEREN, Réflexions et projets de reconstitution, 5me année, 1905-06, pp. 330 à 332.

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